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Terrorisme : « 2000 togolais réfugiés à l’étranger, et 12.000 déplacés de leurs villages », Faure Gnassimgbé,

Dans une interview accordée à un média privé togolais, le président Faure Gnassimgbé, le 27 avril 2023, est revenu sur la crise sécuritaire qui sévit dans le nord du pays. Il s’agit selon lui, l’Etat islamique au grand Sahara et le GNIM qui ont obligé le Togo a déplacé à peu près 12000 personnes déplacées, des réfugiés intérieurs, dans les familles d’accueil et  y 2000 togolais qui sont à l’étranger ».

« Ce qui nous arrive est une forme d’agression par deux groupes :  L’Etat islamique au grand Sahara et le GNIM qui attaquent notre pays, mais avant le Togo attaquent les pays du Sahel. Cette attaque est une forme de guerre, vous connaissez le coté pacifique des togolais. Ça toujours été notre volonté de vivre en bonne intelligence avec nos voisins et d’accueillir avec beaucoup d’hospitalité et de gentillesse ceux qui viennent vers nous »

« Depuis cette attaque nous avons payé un prix lourd, notamment les forces de défense et de sécurité qui ont perdu à peu près une quarantaine d’hommes et malheureusement des victimes civiles, à peu près une centaine. Ce n’est pas une guerre continue et des attaques meurtrières. Ce ne sont pas des incidents isolés » » »Ceux qui se passe chez nos voisins du nord nous impactent. Face à cela nous avons mis trois stratégiques : la première, c’est de nous défendre, par les armes, parce que nos hommes sont attaqués, nos hommes sont tués, et nous avons lancé l’opération Koundjouaré. On a changé une posture de défense à l’offensive, nous avons des succès, parce qu’il y a quelque d’indécent à célébrer les morts. Deuxièmement le CIPLEV, essayer de d’radicalement et de prévenir la radicalisation des populations, parce que ce sont des jeunes, des hommes qui sont utilisés pour mener ces attaques. Troisièmes le plan d’urgence pour assurer la résidence des populations. »Ceux qui se passe chez nos voisins du nord nous impactent. Face à cela nous avons mis trois stratégiques : la première, c’est de nous défendre, par les armes, parce que nos hommes sont attaqués, nos hommes sont tués, et nous avons lancé l’opération Koundjouaré. On a changé une posture de défense à l’offensive, nous avons des succès, parce qu’il y a quelque d’indécent à célébrer les morts. Deuxièmement le CIPLEV, essayer de d’radicalement et de prévenir la radicalisation des populations, parce que ce sont des jeunes, des hommes qui sont utilisés pour mener ces attaques. Troisièmes le plan d’urgence pour assurer la résidence des populations. »

« Nous avons été obligés de déplacés les populations pour mieux protéger les frontières. Nos frontières sont poreuses. A peu près 12000 personnes ont été déplacées, c’est qu’on appel les réfugiés intérieurs, ces personnes sont pour l’instant dans les familles d’accueil. Nous avons accueilli les réfugiés étrangers. Il y 2000 togolais qui sont à l’étranger. Nous avons besoin du soutien des populations. Les togolais doivent s’attendre à un combat long avec des périodes de drames, mais au bout il y aura la victoire »

Laabali.tg