Dans le cadre du projet « Renforcer la résilience et l’engagement des communautés pour prévenir et répondre à l’extrémisme violent dans les pays du corridor atlantique (Bénin, Côte d’Ivoire, Ghana et Togo) et au Burkina Faso », WANEP-Togo, avec le soutien du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD-Togo), lance une série d’ateliers de formation du 14 au 18 octobre 2024.
Cette initiative vise à outiller 120 jeunes des six communes de la région des Savanes à identifier et lutter contre les discours de haine, la mésinformation et la désinformation. C’est dans ce cadre que s’est ouvert d’un atelier de formation dans la ville de Dapaong au profit des jeunes. La formation est donnée par Tani Noellie Lalle, directrice exécutive de GEMESA, en présence de Akimou Ibouraima, chef projet.
Ces ateliers, qui s’inscrivent dans le cadre de l’activité « Concevoir et adapter des messages alternatifs
contre les discours haineux, la mésinformation et désinformation », ont pour objectif de renforcer les compétences des jeunes en matière de prévention et de gestion des discours de haine.
À l’heure où les médias sociaux amplifient la propagation des fausses informations, cette formation permettra aux participants de développer des initiatives promouvant la paix et la tolérance.
Akimou Ibouraima, chef projet basé à Dapaong
A travers ces formations, les jeunes, dont au moins 40% de filles auront la capacité de produire et de diffuser des contenus inclusifs et rassembleurs. Les participants seront également engagés dans des activités de sensibilisation au sein de leurs communautés, renforçant ainsi la cohésion sociale à travers des messages de paix et de solidarité.
A l’issue de ces activités, il est attendu que les jeunes formés soient des pare-feux aux messages de haine et fausses informations dans leurs communautés.Ils seront également outillés, à reconnaitre ces
fausses informations et à concevoir des contre-discours pour les contrecarrer.
Les ateliers se dérouleront dans les communes de Tone 1 (Dapaong), Tone 4 (Sanfatoute), Cinkassé 2 (Sam-Naba), Tandjouare 2 (Tampialime), Oti 1 (Mango) et Oti Sud 1 (Gando). Cette formation viendra également consolider les acquis des initiatives précédentes.
Tani Noellie Lalle, formatrice et consultance sur les questions liées aux messages de haine
Ces ateliers, qui s’inscrivent dans le cadre de l’activité « Concevoir et adapter des messages alternatifs contre les discours haineux, la mésinformation et désinformation », ont pour objectif de renforcer les compétences des jeunes en matière de prévention et de gestion des discours de haine. À l’heure où les médias sociaux amplifient la propagation des fausses informations, cette formation permettra aux participants de développer des initiatives promouvant la paix et la tolérance.
A travers ces formations, les jeunes, dont au moins 40% de filles auront la capacité de produire et de
diffuser des contenus inclusifs et rassembleurs. Les participants seront également engagés dans des
activités de sensibilisation au sein de leurs communautés, renforçant ainsi la cohésion sociale à travers
des messages de paix et de solidarité.
A l’issue de ces activités, il est attendu que les jeunes formés soient des pare-feux aux messages de haine et fausses informations dans leurs communautés. Ils seront également outillés, à reconnaitre ces fausses informations et à concevoir des contre-discours pour les contrecarrer.
Les ateliers se dérouleront dans les communes de Tone 1 (Dapaong), Tone 4 (Sanfatoute), Cinkassé 2 (Sam-Naba), Tandjouare 2 (Tampialime), Oti 1 (Mango) et Oti Sud 1 (Gando). Cette formation viendra également consolider les acquis des initiatives précédentes.
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