Dimanche 26 juin, la Russie devait probablement entrer en défaut de paiement. Historiquement, le moment est marquant, puisqu’il s’agit d’une première depuis la grande crise de 1998. Mais l’effet devrait être très limité. « Il est improbable que l’impact économique soit majeur », estime Joseph Marlow, de Capital Economics, un cabinet d’études. Depuis le début de l’invasion de