La crise terroriste qui sévit au Burkina Faso et dans l’extrême nord du Togo affecte non seulement les activités économiques, mais aussi des secteurs clés comme l’éducation. Fuyant la violence des « hommes de la forêt », les populations burkinabés des villages des communes de Sangha, Soudougui (région du Centre-Est), de Pama et de Kompienga